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Les actualités communales

Soutenir les pollinisateurs sauvages !

Source photo : www.flickr.com

 

Un rapport publié en 2016* a remis sur le devant de la scène la menace qui plane sur la diversité des pollinisateurs. D’importants reculs de la biodiversité ont ainsi été observés en Europe au cours des dernières décennies, tant au niveau de l’abondance qu’au niveau de la diversité des espèces. Les abeilles sont particulièrement concernées, mais d’autres groupes de pollinisateurs comme les papillons sont fortement affectés par la dégradation et la fragmentation de leurs habitats.

 

Dans ce contexte, sachant que les jardins et autres espaces verts publics peuvent jouer un rôle de relais de biodiversité, il est important d’agir de manière efficace en faveur des pollinisateurs en recréant ou en entretenant à l’échelle locale les éléments dont ils ont besoin pour boucler leur cycle de vie (plantes nourricières, matériaux de construction de leur nid, sites de nidification).

 

Le succès de l’aménagement de notre environnement en faveur des abeilles sauvages va essentiellement dépendre de deux facteurs totalement indissociables :

  • le gîte (disponibilité de substrats de nidification et de construction de nids) et
  • le couvert (disponibilité des ressources alimentaires, c’est-à-dire des plantes à fleurs).

 

Que puis-je faire pour aider les pollinisateurs chez moi ?

De nombreuses actions sont facilement réalisables chez soi pour favoriser les pollinisateurs :

  • Pensez à privilégier les espèces indigènes mellifères et nectarifères,
  • Planter des arbres (pommier, tilleul, érable, saule…) ou arbustes (cornouiller, aubépine, prunellier, noisetier…),
  • Planter et conserver vos haies,
  • Créer des vergers,
  • Eviter de « nettoyer d’un coup » votre jardin en préservant une zone non fauchée,
  • Installer un hôtel à insectes …

 

Vous trouverez d’autres bonnes idées à appliquer chez vous sont également sur : https://reseaunature.natagora.be/index.php?id=4477

 

Et au niveau communal ?

En 2011, la Commune de Pont-à-Celles a signé la charte du Plan Maya. Ce plan d’action consiste à contribuer à l’augmentation des ressources alimentaires des abeilles, à effectuer des aménagements en faveur des abeilles (fauchage tardif, gestion différenciée…), à sensibiliser la population à l’importance de sauvegarder les pollinisateurs… Ainsi, la Commune de Pont-à-Celles a instauré le fauchage tardif et applique une gestion différenciée des espaces verts. De plus, elle organise, en collaboration avec le Plan Communal de Développement de la Nature (PCDN), diverses actions de sensibilisation.

 

 

* IPBES, Intergovernmental Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES) on Pollinators, Pollination and Food Production par Potts SG et al. (2016). Voir http://www.ipbes.net/sites/default/files/downloads/pdf/spm_deliverable_3a_pollination_20170222.pdf

 

 

Sources :

http://environnement.wallonie.be/publi/fleurissement-vf.pdf

 

Communication de l’ISPPC – Conseil d’administration

 

L’Intercommunale de Santé Publique du Pays de Charleroi ouvre son conseil d’administration au public.

Celui-ci se tiendra le jeudi 25 juin 2020 à 18h00, après l’assemblée générale qui se déroulera à l’auditoire André De Cooman, sur le site de l’hôpital André Vésale, n°706, rue de Gozée, 6110 Montigny-le-Tilleul.

ORDRE DU JOUR – CONSEIL D’ADMINISTRATION OUVERT AU PUBLIC DU 25 JUIN 2020 – L1532-1 §2

RAPPORT DE GESTION

« (…) Une fois par an, après l’assemblée générale du premier semestre, les intercommunales organisent une séance de conseil d’administration ouverte au public au cours de laquelle le rapport de gestion et, éventuellement, le rapport d’activités sont présentés. Cette séance est suivie d’un débat. Les dates, heures et ordre du jour de cette séance font l’objet d’une publication sur le site internet de l’intercommunale et des communes ou provinces concernées. (…) »

 

Toutes les mesures sanitaires nécessaires sont prises pour assurer votre sécurité. Nous vous prions donc de respecter la distanciation sociale, l’hygiène des mains et le port du masque.

Plan Maya – Qui sont les pollinisateurs sauvages ?

Crédit photo : N. Vereecken et P. Colomb

 

Lorsque l’on aborde le sujet de la pollinisation des plantes à fleurs, la première espèce qui vient à l’esprit est l’abeille domestique, Apis mellifera. Cependant, d’autres insectes sauvages jouent également un rôle primordial dans la pollinisation des plantes à fleurs. Dans nos régions, les principaux groupes de pollinisateurs sont les diptères, les coléoptères, les lépidoptères et les hyménoptères.

 

  • Les Diptères

Les diptères ou « mouches sont particulièrement actifs sur et à proximité des fleurs. On les associe parfois, à tort, à des nuisances ou à des environnements pollués. Pourtant, ces insectes jouent un rôle indéniable dans le contrôle des ravageurs de nos cultures et de nos jardins. Leur contribution précise dans la pollinisation est cependant encore mal cernée. Parmi les diptères, les syrphes, dont l’allure générale rappelle celle de bourdons ou d’abeilles, constituent un groupe extrêmement diversifié en Belgique avec près de 340 espèces. Ils sont considérés comme de très bons pollinisateurs… de quoi motiver leur accueil dans les espaces verts et les jardins !

 

  • Les Coléoptères

Les coléoptères ou « scarabées » sont communs sur les fleurs dont ils consomment le pollen. Certains coléoptères, comme les cétoines ou les trichies, peuvent, en raison des poils présents sur certaines parties de leur corps, s’avérer être des pollinisateurs efficaces pour diverses plantes.

 

  • Les Lépidoptères

Les lépidoptères ou « papillons » se nourrissent du nectar prélevé à l’aide de leur longue langue, ce qui contraint quelque peu leurs choix alimentaires. Ils visitent principalement les plantes à corolle profonde et très nectarifères.

 

  • Les Hyménoptères

Ce sont essentiellement les guêpes, fourmis, abeilles et bourdons. Le rôle des abeilles et des bourdons dans la pollinisation est bien plus significatif. L’abeille mellifère ou domestique (Apis mellifera) est bien connue de tous, notamment en raison des différents produits dérivés de la ruche (miel, propolis, pollen, etc.). Pourtant, environ 400 autres espèces d’abeilles répertoriées en Belgique jouent un rôle tout aussi essentiel que celui de l’abeille mellifère en matière de pollinisation. Cette biodiversité fonctionnelle rend une multitude de services à nos écosystèmes et améliore indéniablement notre quotidien, du paysage à l’assiette. Parmi ces abeilles, outre l’abeille mellifère, on distingue deux grands groupes d’espèces facilement et rapidement différenciables par tous :

– les bourdons (abeilles du genre Bombus), espèces le plus souvent de grande taille, très velues, capables de parcourir de grandes distances dans nos paysages. Il en existe une vingtaine d’espèces en Belgique, toutes sociales et présentes sur une très large gamme de fleurs sauvages et cultivées.

– les abeilles sauvages solitaires et sociales qui appartiennent à six familles différentes, dont la taille, la couleur, la forme et le comportement sont très variables d’une espèce à l’autre et dont le degré de spécialisation écologique varie d’un extrême à l’autre.

 

Les pollinisateurs sont d’une importance capitale pour la reproduction des plantes à fleurs sauvages et cultivées. Ils assurent inlassablement le transfert de pollen d’une fleur à l’autre, étape indispensable à la reproduction sexuée des plantes à fleurs. Chez nous, environ 75 % des plantes à fleurs sauvages et 84 % des espèces cultivées dépendent des insectes pour leur reproduction. La conservation des pollinisateurs est essentielle pour le maintien de notre flore indigène et de la santé de nos écosystèmes, tant ruraux qu’urbains. Elle joue également un rôle déterminant dans notre alimentation puisque les produits issus de l’agriculture en dépendent soit directement (fruits), soit indirectement (semences). Ce sont les raisons pour lesquelles la commune de Pont-à-Celles est signataire du Plan MAYA initié par la Wallonie.

 

 

Sources :

http://sapoll.eu/sapoll/qui-sont-les-pollinisateurs-sauvages/

http://environnement.wallonie.be/publi/fleurissement-vf.pdf

 

 

 

 

 

Défi Zéro déchet de l’été

 

Avez-vous changé certaines de vos habitudes durant le confinement ? Avez-vous pris le temps de réaliser certaines choses vous-même avec les moyens du bord quand vous étiez bloqué.e à la maison ?

 

Pour vous aider à aller plus loin et changer certaines habitudes de manière pérenne en faveur de l’environnement, voici le défi que nous vous proposons de relever pour cet été :

 

Remplacer minimum 2 objets de votre quotidien jetables par une alternative réutilisable.

Les possibilités sont multiples. Voici quelques exemples que vous pouvez soit vous procurer dans un magasin de produits en vrac ou réaliser vous-même en suivant les nombreux tutoriels qui existent sur internet :

  • des lingettes,
  • des carrés démaquillants,
  • des serviettes et mouchoirs en tissu,
  • un cure oreille,
  • des piles rechargeables,
  • une gourde,
  • des furoshikis (emballages cadeau en tissu),
  • des bocaux en verre,
  • des pailles en inox,
  • des protections féminines lavables,
  • un rasoir réutilisable,
  • des sacs de congélation lavables,
  • des bees wraps (tissus enduits de cire d’abeille pour couvrir vos plats ou emballer vos pique-niques),

 

Même si certains de ces produits peuvent paraître un peu cher à l’achat, il s’agit d’investissements qui seront vite rentabilisés sur le long terme.

 

Pour plus d’idées et d’information concernant ces alternatives voici quelques conseils de Bruxelles environnement :

https://environnement.brussels/thematiques/zero-dechet/conseils/eviter-les-dechets/je-choisis-des-objets-reutilisables

 

Partagez vos bons plans autour de vous, défiez vos proches et n’hésitez pas à nous envoyer vos témoignages à environement@pontacelles.be !

 

Bon défi à tous !

Le frelon asiatique arrive chez nous

 

Le frelon asiatique est un insecte invasif de la famille des guêpes originaire d’Extrême-Orient. Introduit accidentellement en France en 2004, il a atteint le territoire belge en 2016.

 

Détecter sa présence

 

Toute observation (de nids, ou d’individus) est utile, d’une part pour permettre de repérer et de neutraliser rapidement les nids (si possible avant la dispersion des jeunes fondatrices) et pour suivre l’invasion et la cartographier. Actuellement, le plus important est de détecter sa présence.

 

Comment reconnaître un frelon asiatique ?

 

Il est un peu plus petit que le frelon européen, mais plus gros, plus trapu qu’une guêpe ordinaire. Le frelon asiatique est reconnaissable à son thorax très sombre, très noir et à ses pattes de couleur jaune.

Son nid est généralement de grande taille (jusqu’à 80 cm de diamètre), de forme sphérique avec une petite ouverture latérale située à mi-hauteur. Il est souvent construit dans un arbre à plus de 10 m de haut.

Bon à savoir ! Le nid du frelon européen est plus allongé et doté d’une large ouverture basale. Sa taille est plus modeste. Il est souvent construit dans un hangar, un grenier ou un arbre creux.

 

Est-il dangereux ?

 

On le dit peu agressif envers l’homme. Son venin serait également moins douloureux que celui des frelons européens et ne serait pas plus dangereux qu’une piqure de guêpe.

L’approche volontaire ou accidentelle d’un nid de frelon asiatique est en revanche une action dangereuse ! Elle peut déclencher l’attaque collective de la colonie et s’accompagner de piqûres multiples sur le corps et de la projection de venin et de liquides acides dans le visage pouvant nécessiter une hospitalisation d’urgence.

Une personne sur cinquante est allergique au venin de guêpe ou d’abeille. En cas d’allergie, toute piqûre provoque de l’urticaire, des vomissements, des vertiges et des difficultés respiratoires. La piqûre de frelon provoque des symptomes analogues. Dans ce cas spécifique, un médecin devra être contacté après toute piqûre. Plus d’information auprès du Centre Antipoisons (070/245 245)

 

Le frelon asiatique est un prédateur redoutable pour les abeilles !

 

L’insecte ne pose pas de véritable problème de santé publique, mais représente une menace pour notre biodiversité. S’il s’attaque à divers insectes dont les guêpes, les papillons, les chenilles, ou même les araignées, il est surtout un vrai danger pour nos abeilles dont il décime les populations en les capturant directement à l’entrée de la ruche, ne leur laissant ainsi aucune chance.

 

Des frelons asiatiques dans votre jardin ?

 

Ne détruisez pas vous-même les nids de frelons asiatiques ! Cette intervention est dangereuse pour vous et pour votre voisinage.

Si vous détectez un frelon asiatique ou un nid, prenez des photos, localisez-le et signalez au plus vite sa présence : formulaire d’observation disponible sur le portail Biodiversité de la Wallonie.

 

 

Plus d’informations ?

  • La Cellule interdépartementale sur les Espèces invasives pour la coordination générale des opérations,
  • La Cellule permanente Environnement-Santé pour les risques spécifiques en matière de santé publique,
  • Le Centre wallon de Recherches agronomiques pour la destruction des nids de frelons asiatiques,
  • Le CARI pour obtenir des informations sur la protection des ruchers.

 

Sources :

La chenille processionnaire du chêne arrive en Wallonie !

Source : www.adalia.be

 

Bien que cette chenille soit largement répandue en Europe, la Wallonie était toutefois relativement épargnée jusqu’en 2018. Ces deux dernières années, la chenille a été détectée de manière localisée dans toutes les provinces wallonnes à l’exception de la province du Hainaut. L’heure est à la vigilance ! Nous comptons sur vous pour nous en informer si vous en observez.

 

Outre les dégâts qu’elle engendre sur les arbres (défoliation), la chenille processionnaire du chêne représente un risque important pour notre santé et celle de nos animaux. En effet, chaque chenille est munie de milliers de minuscules poils urticants facilement dispersés par le vent pouvant causer de fortes réactions allergiques.

 

Les poils apparaissent sur les chenilles aux alentours de la mi-mai et jusqu’à la fin du mois de juin. Les poils restent présents, même après le départ des chenilles, car les nids restent également présents. Après des années, ces nids peuvent encore poser des problèmes.

 

Source : www.adalia.be

 

Comment la reconnaître ?

La chenille processionnaire n’est pas encore très répandue sur le territoire wallon. Il est important de bien l’identifier avant de lancer une alerte. Cette identification peut se faire via les trois caractéristiques suivantes :

 

  • Tout d’abord, comme son nom l’indique, cette espèce de chenille se trouve exclusivement sur les chênes. Le premier réflexe est donc de vérifier que l’arbre hôte est bien un chêne.
  • Ensuite, comme son nom l’indique une nouvelle fois, cette chenille adopte un mode de déplacement très particulier. Les chenilles se déplacent en groupe, plus précisément, en une file indienne très serrée. Nous vous invitons à observer si elles se déplacent accolées les unes aux autres.
  • Les chenilles s’abritent dans un nid accroché au tronc ou aux branches charpentières.

 

Si au moins deux de ces caractéristiques sont rencontrées, il est probable que vous soyez confrontés à la chenille processionnaire du chêne. Une fois les critères d’identification vérifiés, contactez-nous.

 

Si vous souhaitez plus d’informations, en voici : la chenille possède un corps caractéristique. La tête est brune ou noire. Le corps possède des flancs blancs avec de longs poils argentés. Chaque segment du corps possède sur sa face dorsale une plaque brunâtre.

 

Les poils urticants ne sont pas les grands poils visibles sur la chenille. Ce sont des poils  microscopiques que les chenilles expulsent de poches abdominales lorsqu’elles se sentent menacées. Les poils de la chenille processionnaire provoquent une réaction urticante ou de l’urticaire, une éruption cutanée douloureuse avec de fortes démangeaisons.

 

Si on en voit ?

En cas de découverte d’un nid de chenilles processionnaires, il faut éviter de toucher tant les chenilles, que le nid en lui-même. N’essayez en aucun cas d’éliminer vous-même les chenilles processionnaires ! La lutte contre les processionnaires est une affaire de professionnels (prestataires spécialisés). Les poils urticants des chenilles possèdent un très fort pouvoir allergène. L’utilisation des insecticides ou des nettoyeurs haute pression peuvent éparpiller ces poils et poser des problèmes pendant plusieurs années.

 

Les conséquences et que faire en cas de contact

En cas de symptômes, nous vous recommandons de vous rendre chez votre médecin traitant ou de faire appel aux services d’urgences (112).

Les personnes qui, en plus des signes locaux, présentent des symptômes généraux tels que malaise, vertiges, vomissements, doivent être dirigées vers un hôpital.

 

  • Contact avec la peau

Symptômes : Apparition dans les huit heures d’une éruption douloureuse avec de sévères démangeaisons. La réaction se fait sur les parties découvertes de la peau mais aussi sur d’autres parties du corps. Les poils urticants se dispersent aisément par la sueur, le grattage et le frottement ou par l’intermédiaire des vêtements.

Comment réagir ? Retirez vos vêtements à l’aide de gants, lavez les à haute température et faites les sécher dans un sèche-linge.  Rincez-vous abondamment à l’eau savonneuse et consultez un médecin en cas de forte éruption cutanée. Les antihistaminiques peuvent soulager les démangeaisons.

 

  • Contact avec les yeux

Symptômes : Développement après 1 à 4 heures d’une conjonctivite (yeux rouges, douloureux et larmoyants). Quand un poil urticant s’enfonce profondément dans les tissus oculaires, apparaissent des réactions inflammatoires sévères avec, dans de rares cas, évolution vers la cécité.

Comment réagir ? Consultez d’urgence un ophtalmologue. Les yeux doivent être rincés après application d’une solution anesthésique locale.

 

  • Contact par inhalation

Symptômes : Les poils urticants irritent les voies respiratoires. Cette irritation se manifeste par des éternuements, des maux de gorge, des difficultés à déglutir et éventuellement des difficultés respiratoires dues à un bronchospasme (rétrécissement des bronches comme dans l’asthme).

Comment réagir ? Consultez d’urgence un médecin.

 

  • Contact par ingestion

Symptômes : Il se produit une inflammation des muqueuses de la bouche et des intestins qui s’accompagne de symptômes tels que de l’hypersalivation, des vomissements et des douleurs abdominales.

Comment réagir ? Buvez de l’eau afin de diluer la quantité de poils ingérée et consultez d’urgence un médecin.

Une personne qui a des contacts répétés avec la chenille processionnaire présente des réactions qui s’aggravent à chaque nouveau contact. Dans les cas sévères, il peut y avoir un choc anaphylactique mettant la vie en danger (urticaire, transpiration, œdème dans la bouche et la gorge, difficultés respiratoires, hypotension et perte de connaissance).

Les animaux de compagnie et le bétail sont également vulnérables par contact, voire ingestion.

 

Conclusion

Il ne faut pas paniquer, l’heure est à la surveillance. Si vous repérez des chenilles processionnaires du chêne ou un nid : n’hésitez pas à nous prévenir : environnement@pontacelles.be ou 071/84.90.62 ou .63

 

Si vous avez été en contact direct avec la chenille, contactez d’abord votre médecin / les secours (112) avant de nous envoyer un mail de signalement.

 

 

Pour plus d’informations : http://chenille-processionnaire.wallonie.be/

 

 

 

Plaine de vacances communale – Eté 2020 – Ouverture des inscriptions

 

La plaine de vacances sera organisée du 1er juillet au 14 août 2020 en tenant compte des règles applicables dans la lutte contre le Covid-19.

Elle se déroulera comme chaque année à l’école du Centre (rue Célestin Freinet, 1 à 6230 Pont-à-Celles) avec, s’il y a lieu, ouverture d’un deuxième lieu d’accueil (école du Bois-Renaud, rue Raymond Brigode 22 à 6230 Pont-à-Celles).

En raison des dispositions sanitaires actuelles, la plaine pourra accueillir 88 enfants en maternel et 92 enfants en primaire maximum par semaine.

Le nombre de places étant strictement limité, les inscriptions ne seront prises en compte que moyennant l’inscription en ligne et le respect des délais de paiement.

Par ailleurs, compte tenu du contexte actuel, nous ne pourrons malheureusement pas organiser toutes les sorties habituelles en raison des contraintes importantes à respecter (limitation des groupes et respect des bulles de contact).

 

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Où : Ecole du Centre – rue Célestin Freinet – 6230 Pont-à-Celles

Quand : Du mercredi 1er juillet au vendredi 14 août 2020.

Horaire : Les activités se déroulent de 8h00 à 16h00.  Une garderie est ouverte de 6h45 à 18h00 pour les enfants dont les 2 parents travaillent.

Public : pour les enfants âgés de 2,5 ans à 13 ans :

  • domiciliés sur l’entité de Pont-à-Celles ou dont au moins un des parents ou tuteur légal y est domicilié, ou
  • inscrits dans une école de l’entité de Pont-à-Celles, ou
  • dont au moins un des parents travaille sur l’entité de Pont-à-Celles.

 

Inscription

Formulaire d’inscription ICI

 

De préférence, via le formulaire d’inscription ci-dessus ou, à défaut, par téléphone au 071 84 90 78.

Paiement : doit être réceptionné par l’Administration 10 jours ouvrables avant la participation – voir dates ci-dessous – compte bancaire BE32 0910 1892 2002.   Il appartient aux parents d’être attentifs au délai de transfert entre deux banques !

 

En raison des dispositions sanitaires actuelles, la plaine pourra accueillir 88 enfants en maternel et 92 enfants en primaire, maximum, par semaine.

Dès lors, même si le paiement arrive dans les temps, il se peut que l’inscription ne puisse être acceptée.

Vous serez alors remboursé ou l’argent pourra être utilisé pour une autre semaine de plaine.

 

Réf. Semaines Date limite de perception du paiement Prix
Esem1 du 01/07 au 03/07/2020 16 juin 2020 21 €
Esem2 du 06/07 au 10/07/2020 19 juin 2020 35 €
Esem3 du 13/07 au 17/07/2020 26 juin 2020 35 €
Esem4 du 20/07 au 24/07/2020 03 juillet 2020 28 €
Esem5 du 27/07 au 31/07/2020 09 juillet 2020 35 €
Esem6 du 03/08 au 07/08/2020 16 juillet 2020 35 €
Esem7 du 10/08 au 14/08/2020 24 juillet 2020 35 €

 

 

 

 

 

 

 

Rue Case du Bois (Pont-à-Celles) – Avis d’annonce de projet

 

Le collège communal fait savoir qu’en vertu du Décret relatif à la gestion et à l’assainissement des sols, le Service public de Wallonie – Direction de l’Assainissement des Sols est saisi d’une demande de projet d’assainissement.

 

Cette demande est introduite par M. et Mme VAN RANST – rue Case du Bois, 23 à 6230 PONT-A-CELLES.

 

Le terrain concerné est situé : rue Case du Bois, 23 à 6230 PONT-A-CELLES et est cadastré : 01 B 193 M et 01 B 193 L.

 

Le projet consiste en l’assainissement d’environ 98 m² dans le sol et 62 m² dans l’eau souterraine suite à une pollution générée par le débordement d’une citerne enterrée de mazout de chauffage de 2.800 litres.

 

Le dossier peut être consulté du lundi au vendredi de 8h30 à 11h45 et les lundis, mercredis et vendredis de 13h30 à 16h à l’adresse suivante : Service Cadre de vie – 22, place communale à 6230 PONT-A-CELLES.

 

Des explications sur le projet peuvent être obtenues auprès de Mme RENIERS ou de Mme CASAGRANDE au 071/84.90.62 ou 63 ou par mail : environnement@pontacelles.be dont le bureau se trouve au service Cadre de vie – 22, place communale à 6230 PONT-A-CELLES.

 

Les réclamations et observations écrites sont à envoyer du 15/06/2020 au 29/06/2020 à l’attention du collège communal :

– par courrier ordinaire à l’adresse suivante : 22, place communale à 6230 PONT-A-CELLES,

– par courrier électronique à l’adresse suivante : environnement@pontacelles.be

A Pont-à-Celles, le 04/06/2020.

Gestion de la balsamine de l’Himalaya sur le ruisseau Rosseignies 

 

 

L’équipe du Contrat de Rivière Senne démarre sa campagne de gestion de la balsamine de l’Himalaya, plante exotique envahissante, sur différents cours d’eau à partir du 8 juin 2020.

 

Le ruisseau de Rosseignies (section en 3e catégorie) sera donc parcouru prochainement par l’équipe du CR Senne, en accord avec le gestionnaire du cours d’eau. Le but est de vérifier la présence de cette balsamine et de procéder à son arrachage le cas échéant. Une deuxième passage est prévu en août.

 

Merci de leur réserver un bon accueil lors de leur passage.

 

Pour plus d’information sur cette plante : http://biodiversite.wallonie.be/servlet/Repository/?ID=33350

 

 

 

 

Infos / Contact

 

Contrat de Rivière Senne ASBL
Siège social : Place Josse Goffin 1, 1480 Clabecq
Tél/fax: 0032 (0)2 355 02 15 – GSM : 0497/53 71 16 – info@crsenne.be

Visitez notre site Internet www.crsenne.be et suivez-nous sur notre page Facebook !

 

Fuite de gaz à Thiméon – Chaussée de Nivelles – Déviation

Ce midi, une cinquantaine d’habitants ont été évacués vers la maison de village de Thiméon suite à une fuite de gaz.

La situation est actuellement sous contrôle et les habitants ont pu rejoindre leur domicile.

Les services de police, d’Ores et les pompiers sont toujours sur les lieux afin d’organiser les réparations nécessaires.

Une déviation est dès maintenant mise en place.

Déviation

Chaussée de Nivelles, l’axe entre le rond-point des 4 bras de Liberchies et le carrefour rue de Thiméon – rue des Chaufours est interdit à la circulation.

(L’incident est survenu à la chaussée de Nivelles, précisément entre la chaussée de Brunehault et le carrefour rue de Thiméon et rue des Chaufours).

 

Tout est mis en oeuvre afin d’effectuer les réparations le plus rapidement possible. Cette portion de la chaussée de Nivelles devrait être à nouveau accessible à la circulation dès demain (vendredi matin).